J’ai passé la journée sur ma nouvelle problématique du sevrage (page du dossier processus), tentant de faire le lien avec les sciences islamiques. Je me suis enlisé en chemin. Mais je crois que c’est très simple en fait. Les sciences islamiques, c’est comme ce que Ziad fait avec Facebook : « Je voudrais de toi une vidéo qui éloigne mon dépit, pour la partager et devenir une personne nouvelle sur ton mur. » (01/04/2024).
• Faire des sciences islamiques, c’est devenir une personne nouvelle en entrant en relation avec les premiers savants de la Communauté.
• Faire de l’anthropologie aussi, c’est un peu devenir une personne nouvelle en allant sur le terrain, même si ce n’est pas la finalité ; en tous cas c’est entrer en relation avec des gens.
Les deux démarches sont contradictoires, et en même temps nécessaires toutes les deux. Est-il seulement possible de les combiner ? Quels sont les obstacles structurels ? C’est la question que je pose depuis 16 ans, avec mes histoires d’homoérotisme* ou d'intersexuation*.
Mais voilà que Ziad réapparaît avec ses posts, et voilà que je remplace l’homoérotisme par le sevrage*, par des interactions de dos. Je sens que ça va être plus simple, je sens que Ziad en sera soulagé. Bidhnillah.
Aujourd'hui c'est le dernier jour de Shawwal. À voir si je continuerai ce journal public…