Études yéménites : reprise de ma participation au colloque d'Exeter en 2019. Et cette question en arrière-plan : pourquoi les universitaires spécialistes du Yémen n'ont pas les moyens - même intellectuels - de résoudre la crise que traverse ce pays.
Séminaire “islamophobie”. Le terme a acquis ses lettres de noblesse académique à travers un séminaire de l'EHESS, animé dans les années 2011-2013 par un ancien collègue de DEA (Abdellali Hajjat) et un autre chercheur au CNRS (Marwan Mohammed) également du même laboratoire auquel j'étais rattaché comme doctorant. Précisément l'époque où je tentais de sauver ma thèse, tandis que Taez entrait en révolution.
Propositions
Pour que l'institution assume lucidement sa part de cette petite histoire et plus largement, trouve mieux sa place dans les bouleversements contemporains :
Les sciences sociales gagneraient à se doter d'une sorte d'“inégalité d'Heisenberg”, posant une limite sur le cumul des vulgarités.
Ça va mieux en le disant : La République des Serpents (dans une éructation récente contre Michel Foucault) La République des Lézards (l’injustice des musulmans diplômés, qui se retranchent derrière le Coran comme derrière un mur, et que mon histoire pétrifie).